Note du CÉPI No.17, mars 2012. Par DAVID PETRASEK, École supérieure d’affaires publiques et internationales. Le Musée canadien pour les droits de la personne s’est fixé un objectif clair: équiper les visiteurs et les mettre au défi de promouvoir activement la liberté et le bien être pour tous. Le passé n’est pas toujours une source
Note du CÉPI No.17, mars 2012.
Par DAVID PETRASEK, École supérieure d’affaires publiques et internationales.
- Le Musée canadien pour les droits de la personne s’est fixé un objectif clair: équiper les visiteurs et les mettre au défi de promouvoir activement la liberté et le bien être pour tous.
- Le passé n’est pas toujours une source fiable pour comprendre les abus de droits humains présents et futurs. Le passé sous-tend également l’idée de progrès et de permanence qui porte à la complaisance plutôt que à l’engagement. Le Musée échouera donc dans sa mission s’il adopte une approche trop historique.
- Le Musée devrait plutôt mettre en évidence le présent et le futur des droits humains, en présentant l’idée de droits universels comme sujet de discussion critique.
Version intégrale (en anglais seulement)
David Petrasek est professeur agrégé à l’École supérieure d’affaires publiques et internationales de l’Université d’Ottawa. Anciennement conseiller spécial du secrétaire général d’Amnistie internationale, il a également travaillé pour le bureau du Haut Commissaire aux droits de l’homme (1997 -98), pour le Conseil international sur la politique des droits de l’Homme (1998-02), et en tant que directeur des politiques au Centre HD (2003-07).