La théorie et la ville

Combien de personnes gagnent leur vie en « pratiquant» les relations internationales (RI) dans la région de la capitale fédérale canadienne ? Pour faire une première estimation, nous avons dénombré le personnel enseignant à temps plein qui travaillent dans, ou en lien avec, ce domaine d’étude semi-autonome dans quatre universités à Ottawa et à Gatineau : l’Université Carleton,

Combien de personnes gagnent leur vie en « pratiquant» les relations internationales (RI) dans la région de la capitale fédérale canadienne ? Pour faire une première estimation, nous avons dénombré le personnel enseignant à temps plein qui travaillent dans, ou en lien avec, ce domaine d’étude semi-autonome dans quatre universités à Ottawa et à Gatineau : l’Université Carleton, l’Université d’Ottawa, l’Université Saint-Paul et l’Université du Québec en Outaouais.

Dans le cadre de ce décompte particulier, « pratiquer les RI » signifie :

(i)  enseigner des cours en RI ou dans des domaines apparentés tels que les « affaires internationales » et « études globales »; ainsi que

(ii)  fréquenter les congrès annuels de l’International Studies Association (ISA) et/ou publier dans des revues étiquetées en « RI » par l’Index de citations Thomson-Reuters ISI (comprenant environ 80 revues anglophones) ou dans des revues francophones telles que Critique internationale, Cultures & Conflits, Études internationales, Politique étrangère et Revue internationale et stratégique.

Grâce à cette méthode, nous avons dénombré 67 « internationalistes » dans la région de la capitale fédérale. Ce nombre est sans doute une sous-estimation, car nous n’avons pu inclure les professeurs œuvrant dans d’autres disciplines (ex. : l’anthropologie, la science économique, la géographie, l’histoire, le droit, la sociologie, les études des femmes) et qui s’intéressent aux aspects internationaux/mondiaux de leur champ respectif.

Il serait d’autre part intéressant de produire une liste incluant les chargés de cours, les professeurs remplaçants et à temps partiel, les professeurs et les chercheurs invités, les associés de recherche en résidence, les fonctionnaires en résidence, les étudiants de 2e et 3e cycles, les chercheurs postdoctoraux et toutes autres personnes « pratiquant » les RI à Ottawa-Gatineau. Nous vous invitons d’ailleurs à nous aider à dresser une telle liste. Comme coordinateurs du Réseau en théorie internationale (RTI), nous nous intéressons à créer diverses listes concernant le champ des RI pour le site web du CÉPI. Entretemps, nous espérons que cette liste partielle sera une ressource utile pour les étudiants et chercheurs qui s’intéressent aux universitaires dont la priorité académique est l’étude de « l’international » et qui sont situés dans la capitale fédérale.

Dans la liste ici-bas, nos 67 spécialistes en RI sont classés en bas en ordre alphabétique par université et département (unité, école, programme), ainsi que par nom de famille.

On vous invite aussi à nous aider à améliorer la précision de cette liste. Nous nous excusons auprès de tous ceux et celles qui correspondent à nos définitions opérationnelles mais qui, par erreur, n’apparaissent pas dans cette liste ; SVP contactez-nous pour vous présenter. Inversement, si votre nom y apparaît, mais vous ne désirez pas être associé à cette « communauté imaginée », SVP faites-le-nous savoir.

[Merci à Félix Grenier pour les corrections apportées pour améliorer la version française de ce post.]

a) Université du Québec en Outaouais

Département des sciences sociales (6)

Bizimana, Aimé-Jules
Collombat, Thomas
della Faille de Leverghem, Dimitri
Laberge, Martin
Levy, Charmain
Loum, Ndiaga

 

b) Carleton University

Department of Political Science (15)

Darby, Tom
Germain, Randall
Hurrelmann, Achim
Jackson, Robert
Jaeger, Hans-Martin
MacDonald, Laura
Milner, James
Paltiel, Jeremy
Rajaee, Farhang
Robinson, Fiona
Rojas, Cristina
Schmidt, Brian
Sucharov, Mira
Walters, William
Williams, Glen

Norman Paterson School of International Affairs (10)

Carment, David
Daudelin, Jean
Findlay, Trevor
Hampson, Fen O.
Littlewood, Jez
Long, David
Mendeloff, David
Percival, Valerie
Saideman, Stephen
Weibust, Inger

 

c) Saint Paul University

Conflict Studies Programme (4)

Bradley, Megan
Eaton, Heather
Parent, Genevieve
Rioux, Jean-François

 

d) University of Ottawa

Graduate School of Public and International Affairs (11)

Abrahamsen, Rita
Gheciu, Alexandra
Jones, Peter
Lagassé, Philippe
Leblond, Patrick
Massie, Justin
Musu, Costanza
Paris, Roland
Vucetic, Srdjan
Williams, Michael C.
Zuercher, Christoph

School of International Development and Global Studies (8)

Baranyi, Stephen
Beaudet, Pierre
Desrosiers, Marie-Ève
Flórez-Malagón, Alberto
Haslam, Paul
Régnier, Philippe
Spronk, Susan
Zyla, Benjamin

School of Political Studies (13)

Best, Jacqueline
Brown, Stephen
Grondin, David
de Larrinaga, Miguel
Massicotte, Marie-Josée
McMillan, Kevin
Paterson, Matthew
Paquerot, Sylvie
Pellerin, Hélène
Salter, Mark
Saurette, Paul
Shah, Nisha
Turenne-Sjolander, Claire

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Les blogs CIPS sont protégés par la licence Creative Commons: Attribution – Pas de Modification 4.0 International (CC BY-ND 4.0).


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Combien de personnes gagnent leur vie en « pratiquant» les relations internationales (RI) dans la région de la capitale fédérale canadienne ? Pour faire une première estimation, nous avons dénombré le personnel enseignant à temps plein qui travaillent dans, ou en lien avec, ce domaine d’étude semi-autonome dans quatre universités à Ottawa et à Gatineau : l’Université Carleton,

Combien de personnes gagnent leur vie en « pratiquant» les relations internationales (RI) dans la région de la capitale fédérale canadienne ? Pour faire une première estimation, nous avons dénombré le personnel enseignant à temps plein qui travaillent dans, ou en lien avec, ce domaine d’étude semi-autonome dans quatre universités à Ottawa et à Gatineau : l’Université Carleton, l’Université d’Ottawa, l’Université Saint-Paul et l’Université du Québec en Outaouais.

Dans le cadre de ce décompte particulier, « pratiquer les RI » signifie :

(i)  enseigner des cours en RI ou dans des domaines apparentés tels que les « affaires internationales » et « études globales »; ainsi que

(ii)  fréquenter les congrès annuels de l’International Studies Association (ISA) et/ou publier dans des revues étiquetées en « RI » par l’Index de citations Thomson-Reuters ISI (comprenant environ 80 revues anglophones) ou dans des revues francophones telles que Critique internationale, Cultures & Conflits, Études internationales, Politique étrangère et Revue internationale et stratégique.

Grâce à cette méthode, nous avons dénombré 67 « internationalistes » dans la région de la capitale fédérale. Ce nombre est sans doute une sous-estimation, car nous n’avons pu inclure les professeurs œuvrant dans d’autres disciplines (ex. : l’anthropologie, la science économique, la géographie, l’histoire, le droit, la sociologie, les études des femmes) et qui s’intéressent aux aspects internationaux/mondiaux de leur champ respectif.

Il serait d’autre part intéressant de produire une liste incluant les chargés de cours, les professeurs remplaçants et à temps partiel, les professeurs et les chercheurs invités, les associés de recherche en résidence, les fonctionnaires en résidence, les étudiants de 2e et 3e cycles, les chercheurs postdoctoraux et toutes autres personnes « pratiquant » les RI à Ottawa-Gatineau. Nous vous invitons d’ailleurs à nous aider à dresser une telle liste. Comme coordinateurs du Réseau en théorie internationale (RTI), nous nous intéressons à créer diverses listes concernant le champ des RI pour le site web du CÉPI. Entretemps, nous espérons que cette liste partielle sera une ressource utile pour les étudiants et chercheurs qui s’intéressent aux universitaires dont la priorité académique est l’étude de « l’international » et qui sont situés dans la capitale fédérale.

Dans la liste ici-bas, nos 67 spécialistes en RI sont classés en bas en ordre alphabétique par université et département (unité, école, programme), ainsi que par nom de famille.

On vous invite aussi à nous aider à améliorer la précision de cette liste. Nous nous excusons auprès de tous ceux et celles qui correspondent à nos définitions opérationnelles mais qui, par erreur, n’apparaissent pas dans cette liste ; SVP contactez-nous pour vous présenter. Inversement, si votre nom y apparaît, mais vous ne désirez pas être associé à cette « communauté imaginée », SVP faites-le-nous savoir.

[Merci à Félix Grenier pour les corrections apportées pour améliorer la version française de ce post.]

a) Université du Québec en Outaouais

Département des sciences sociales (6)

Bizimana, Aimé-Jules
Collombat, Thomas
della Faille de Leverghem, Dimitri
Laberge, Martin
Levy, Charmain
Loum, Ndiaga

 

b) Carleton University

Department of Political Science (15)

Darby, Tom
Germain, Randall
Hurrelmann, Achim
Jackson, Robert
Jaeger, Hans-Martin
MacDonald, Laura
Milner, James
Paltiel, Jeremy
Rajaee, Farhang
Robinson, Fiona
Rojas, Cristina
Schmidt, Brian
Sucharov, Mira
Walters, William
Williams, Glen

Norman Paterson School of International Affairs (10)

Carment, David
Daudelin, Jean
Findlay, Trevor
Hampson, Fen O.
Littlewood, Jez
Long, David
Mendeloff, David
Percival, Valerie
Saideman, Stephen
Weibust, Inger

 

c) Saint Paul University

Conflict Studies Programme (4)

Bradley, Megan
Eaton, Heather
Parent, Genevieve
Rioux, Jean-François

 

d) University of Ottawa

Graduate School of Public and International Affairs (11)

Abrahamsen, Rita
Gheciu, Alexandra
Jones, Peter
Lagassé, Philippe
Leblond, Patrick
Massie, Justin
Musu, Costanza
Paris, Roland
Vucetic, Srdjan
Williams, Michael C.
Zuercher, Christoph

School of International Development and Global Studies (8)

Baranyi, Stephen
Beaudet, Pierre
Desrosiers, Marie-Ève
Flórez-Malagón, Alberto
Haslam, Paul
Régnier, Philippe
Spronk, Susan
Zyla, Benjamin

School of Political Studies (13)

Best, Jacqueline
Brown, Stephen
Grondin, David
de Larrinaga, Miguel
Massicotte, Marie-Josée
McMillan, Kevin
Paterson, Matthew
Paquerot, Sylvie
Pellerin, Hélène
Salter, Mark
Saurette, Paul
Shah, Nisha
Turenne-Sjolander, Claire

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